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 And I'm so high on misery ft Azel

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Ludwig Vandenbossche
Ludwig Vandenbossche
Thunder
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MessageSujet: And I'm so high on misery ft Azel   And I'm so high on misery ft Azel EmptyDim 15 Nov - 1:57

And I'm so high on misery



Soirée de débauche. Mauvaise idée.

C’était les mots qui clignotaient dans ton esprit depuis qu’un de tes hommes t’avait laissé entendre que lui et une petite dizaine d’autres s’apprêtaient à se réunir dans la suite d’un hôtel des quartiers Est de Detroit. Tu ne sais pas exactement pour quelle raison, poussé par une forme d’instinct tu t’es mis en tête de les rejoindre alors que la simple idée d’une soirée te répugnait au plus haut point, préférant et de loin le confort et la sécurité de ton appartement, probablement que tu cherchais à garder un oeil sur eux, à vérifier qu’ils ne s’amusaient pas à transformer ce quartier épargné en nouvelle version de Sodome et Gomorrhe. Parce que tu les connaissais tes gars, tu connaissais certes leurs qualités, leur loyauté, leur obéissance sans faille, tu leur étais reconnaissant chaque jour pour la capacité qu’ils avaient eu à te suivre lorsque ton coeur avait changé de camp mais tu connaissais aussi leurs faiblesses et tu savais que pour une immense majorité d’entre eux, elle était située quelques centimètres sous la ceinture alors tu n’avais pas été surpris de tomber sur un spectacle privatisé de danseuses dénudées lorsque tu avais finalement ouvert la porte de la suite, portant sur eux un regard sévère avant d’aller t’échouer dans un coin, whisky et cigarette en main, ignorant délibérément comme à ton habitude toute interdiction explicite de fumer.

La chaleur de la pièce était étouffante et si plusieurs de tes hommes commençaient déjà à retrousser les manches de leurs chemises, retirer leurs vestes, tu n’en faisais rien, trop habitué à respecter strictement le dress code pour faire la moindre concession, priant plutôt pour que ce spectacle qui te laissait bien indifférent comparé à tes congénères surexcités, prenne fin rapidement.
Tu n’avais aucun intérêt pour ces jeunes femmes qui se tortillaient, gracieusement parait-il, devant eux et qui s’attiraient leurs faveurs, aucun intérêt pour ces corps presque nus fussent-ils parfaits, tu ne voyais que la misère humaine, même si certaines le faisaient peut-êre volontairement, tu ne pouvais t’empêcher de t’imaginer ce qu’était la vie des autres, tu ne pouvais t’empêcher de penser à ta petite fille aussi…

Ils n’étaient pas pères, ils ne comprenaient pas.


Ca t’allait bien d’avoir des pensées si moralisatrices quand on savait que tu avais été le plus médiocre des maris et le plus lamentable des pères Ludwig...A peine capable de se rappeler de la date d’anniversaire de cette enfant que tu n’avais consenti à avoir que parce que tu ne serais jamais présent pour elle, constamment en déplacement.
.
Presque agacé par la tournure que prenaient tes pensées, encore et toujours les mêmes choses que tu ressassais, tu laissas entendre un claquement de langue sec alors que tu fusillais du regard deux de tes soldats dont les mains te semblaient un brin trop baladeuses, vidant ton verre l’air maussade alors que tu allumais une énième cigarette.

Il faut bien mourir de quelque chose il parait.

Tu soupirais, foutues pensées.


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MessageSujet: Re: And I'm so high on misery ft Azel   And I'm so high on misery ft Azel EmptyMar 17 Nov - 13:17
And I'm so high on misery
I have found so much beauty in the Dark as I have found a lot of horrors in light.
Devant un miroir complice, Azel appliquait une fine couche de rouge à lèvres sur ses lippes asséchées par le froid. Sa main glissa dans ses cheveux courts pour en défaire rapidement les nœuds avant de venir lisser sa robe charbonneuse. “ Swan, tu viens ? On va être en retard !”s’écria une voix suraiguë qui lui parvenait de la cuisine. Swan, pseudonyme qui rythmait ses nuits agitées. Ce soir, douce et délicate Azel disparaîtra derrière le masque d’une autre femme ; celle qui danse, ondule ses hanches avec grace pour gagner un peu d’argent, peut-être même un pourboire qui sait. Comme à chaque préparation, Azel ressentait le besoin de retirer tout son maquillage, d’arracher ses vêtements et de saccager les meubles environnants. Parce que l’angoisse, elle saisissait sa gorge, l’étouffait, empêchait l’oxygène de circuler dans ses poumons. Mais comme à chaque fois, elle inspirait, redressait la tête, et observait sa petite sœur, allongée sur le canapé miteux récupéré un an plus tôt. Elle expira, longuement, puis quitta la salle de bain pour enfiler son long manteau et ses escarpins.

Sans un mot, Leïla et Swan, rapidement rejointes par d’autres danseuses, s’engouffrèrent dans l’obscurité de la nuit. Elle était nerveuse, plus que d’ordinaire, Azel. Elle haïssait les militaires ; des hommes réputés pour s’approprier tout ce qui les entourait, des hommes loin d’être animés par des gestes doux et délicats. Leurs mains étaient baladeuses, froides, mordantes. Et pourtant, la jeune femme s’apprêtait à laisser leurs doigts parasites effleurer sa peau pour quelques billets. Pour quelques billets, elle s’apprêtait à endurer une nuit où elle enfermerait son myocarde dans une cage pour ne pas écouter les supplices de ce dernier.

C’est en s’accrochant à la pensée que sa cadette était en sécurité, qu’Azel laissa glisser ses vêtements le long de son corps sous les yeux, dévorés par la curiosité, des soldats. Guidée par le son mélodieux de la musique, la jeune femme ferma les yeux, s’éloignant de la réalité pour que ses muscles s’expriment, racontent une histoire silencieuse.

Des minutes, peut-être des heures ? Défilèrent, s’égrenant à petit feu, prodiguant la sensation à Swan qu’une éternité venait de s’écouler avant que la musique ne se taise. Le silence déclencha un océan de protestation chez les soldats, mais l’une des danseuses les rassura en déclarant qu’elles prenaient une pause. Les muscles d’Azel accueillirent avec soulagement ce moment d’accalmie. La jeune femme enroula son corps dans un peignoir de soi, voilant ses formes d’un bleu lavande, le tissu orné par quelques fleurs. Azel s’écarta légèrement de l’euphorie, chérissant l’espoir d’échapper aux rires stridents et irritants de Leïla. Elle passa une main dans sa chevelure ébouriffée puis laissa ses yeux se balader dans la pièce, s’avançant involontairement vers la fenêtre la plus proche. Ses pupilles survolèrent différents meubles, avant de s’arrêter sur une silhouette qui se dessinait dans la pénombre d’un coin de la salle, non loin de la vitre.

L’odeur de nicotine caressait ses narines, tandis qu’Azel se dirigeait vers lui, la démarche légère et gracile, silencieuse. Cet homme-là, la danseuse l’avait remarqué dès leur arrivée. Il était resté en retrait et depuis, c’était peut-être simplement contenté de quelques coups d'œil dans leur direction. Intriguée par le calme exsudé par le soldat brumeux, la jeune femme s’arrêta près de lui pour appuyer son épaule contre le mur. “ Je peux vous emprunter une cigarette ?”demanda-t-elle de sa voix limpide et modulée, un sourire fleurissant sur ses lèvres. Elle croisa ses bras sur sa poitrine et plongea ses iris mordorés dans ceux du militaire, dissimulant parfaitement sa surprise lorsqu’elle rencontra son regard glacial, et ses pupilles myosotis, semblable à un océan.

Ses yeux de miel caressèrent son visage de marbre, s’interrogeant sur sa présence ici quand il ne souhaitait manifestement pas participer aux festivités. À l'instar d’Azel. S’ils étaient à première vue des opposés, ils avaient ce point en commun. “ Vous ne participez pas à la fête soldat ?”La question venait de glisser naturellement sur ses lèvres carmin, dont la douceur du sourire contrastait avec son regard audacieux.
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Ludwig Vandenbossche
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Thunder
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MessageSujet: Re: And I'm so high on misery ft Azel   And I'm so high on misery ft Azel EmptyDim 22 Nov - 22:49

And I'm so high on misery



Entendant le grondement des protestations des soldats gonfler alors que les danseuses prenaient quelques minutes de pause bien méritées, tu lâchas un énième soupir las avant de vider un énième verre comme pour essayer de te donner le courage d’en supporter plus.

Des animaux.

Voilà ce qu’étaient tes hommes chaque fois que leurs yeux croisaient une paire de jambes dénudées ou un décolleté légèrement dévoilé, des animaux qui semblaient incapables de se contrôler, incapables de se souvenir de l’humanité des femmes qu’ils convoitaient et tu étais épuisé par leurs comportements, épuisé de t’acharner à faire d’eux si ce n’est des gentlemen au moins des hommes faisant preuve d’un minimum de décence.
Glissant une cigarette entre tes lèvres, bien conscient pourtant que tu n’avais pas le droit de t’adonner à ce genre de plaisirs destructeurs ici, la loi remontant à presque aussi longtemps que le jour où tu étais venu au monde, tu décidais pourtant de l’ignorer royalement, seul privilège pour lequel tu acceptais de jouir de ton statut social car qui oserait dire au Lieutenant Colonel Vandenbossche, à Thunder, d’éteindre le bâtonnet mortel qui semblait presque être une extension de lui-même ?

Tout à tes pensées, tu sursautas presque en entendant une voix féminine s’adresser à toi.
Une des danseuses était adossée au mur, à tes côtés, enroulée dans un peignoir de soie bleu lavande délicat et te demandait si elle pouvait se permettre de t’emprunter une cigarette.
Plutôt peu verbeux de nature, exsudant probablement ton ennui et ton déplaisir quant à ta présence ici alors que tu aurais pu être en train de t’occuper de ta petite fille ou d’avancer des pions dans la guerre sans relâche que tu menais à la coalition, tu te contentas d’émettre une onomatopée, à mi-chemin entre grognement et approbation alors que tu faisais glisser le paquet d’une main vers elle prêt à te replonger dans les méandres abyssales de tes pensées.
Ce ne fut que lorsque la jeune femme reprit la parole, sa question sonnant bien rhétorique à tes oreilles, que tu daignas lever la tête, acceptant enfin de croiser son regard, notant au passage, plus pour toi-même qu’autre chose qu’il avait quelque chose de différent, légèrement envoûtant.

Silence. Tu n’as pas le droit.

Tu t’humectas légèrement les lèvres, sachant très bien que les mots soufflés par ta conscience étaient vraies, de quel droit te permettais-tu de complimenter une autre femme même en pensée après avoir mené ton propre mariage au bord du gouffre et forcé inconsciemment ta propre femme à s’en aller ?

“Lieutenant Colonel”

Ce fut tout ce que tu répondis, pas pour la corriger sur ton grade qui même s’il était très important à tes yeux ne l’était tout de même pas au point de forcer les gens à s’adresser à toi convenablement mais pour lui signifier la raison de ton retrait et la raison pour laquelle le déplaisir de cette soirée se lisait sur chacun de tes traits.

“J’espère encore faire d’eux des gentlemen”

Le ton était désabusé, il suffisait de tourner le regard vers le reste de la salle pour constater que ton combat était très probablement vain.


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MessageSujet: Re: And I'm so high on misery ft Azel   And I'm so high on misery ft Azel EmptyDim 29 Nov - 0:01
And I'm so high on misery
I have found so much beauty in the Dark as I have found a lot of horrors in light.
Ses yeux rencontrèrent celui du soldat, plongeant inconsciemment dans un océan de glace et...d’indifférence. Il émit un simple son pour seule réponse, un bruit à mi-chemin entre le grognement et l’approbation. Ses doigts fins se refermèrent autour du paquet tendu et Azel en retira une cigarette. Elle glissa le petit cylindre entre ses lèvres carmin et extirpa de sa poche un briquet qu’elle gardait toujours, en cas de besoin. Les rires étourdissant lui parvenaient, en dépit des murs que le cygne s’évertuait à ériger autour d’elle pour étouffer la cacophonie. La danseuse jeta une œillade à Leïla, dont l’âge équivalait certainement celui de sa petite sœur...son cœur se pinçait toujours un peu lorsqu’elle l’apercevait glisser son corps au côté d’un homme, pour lui offrir la possibilité d’explorer sa peau de ses mains avides de sensations et de découvertes.

La voix du soldat attira son attention ; un timbre rauque et calme s’éleva parmi le tintamarre provoqué par les festivités qui se déroulaient non loin d’eux. Évidemment, il n’était pas un simple soldat. Le colonel avait plus de prestance que tous les hommes réunis dans cette salle. Était-ce son regard, sa silhouette, ou sa mâchoire ciselée, qui intimidait le plus ? Azel l’ignorait, mais ses yeux myosotis l’observaient avec une intensité qui...la déstabilisait presque. Presque. Elle porta le briquet à ses lèvres pour allumer sa cigarette, se dérobant le temps d’un court instant au regard du lieutenant, avant de plonger de nouveau ses iris dans les siennes. Le cygne haussa discrètement un sourcil tandis que la surprise s’emparait de ses traits, aussi visible qu’un phare dans la nuit.

Azel avait abandonné, depuis longtemps, l’idée de discipliner ses clients les plus rustres. Un animal restait un animal, quand bien même on essayait de lui arracher ses griffes et ses crocs. Le ton du soldat ne trompait pas, il semblait considérer sa cause comme étant perdue. Une cause vaine, sans espoir. “ Eh bien lieutenant-colonel c’est...très louable.”osa-t-elle prononcé, un sourire doux étirant le coin de ses lippes. Rares étaient les hommes qui s’adonnaient à civiliser ses semblables, en dépit de la difficulté de la tâche. Elle inhala la fumée de nicotine, laissant ses pupilles se perdre dans le nuage toxique qui s’évaporait dorénavant dans l’atmosphère.

“ Mais quand on est un gentleman, on ne participe pas à ce genre de fête.”Il n’y avait rien de beau, dans ces festivités. Pas l’ombre d’une dignité. Rien de très gentleman. Elle tira sur sa cigarette, avant de remettre son kimono en place. “ Donc...vous passez votre soirée à épier la situation, en surveillant vos hommes. Seule, avec votre verre et votre cigarette...le temps doit vous paraître long, non ?” Le cygne se déplaça silencieusement pour se servir un verre, cylindre toxique coincé entre ses lippes, avant de retrouver sa place initiale, face au colonel pour le scruter de ses yeux noisette.
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MessageSujet: Re: And I'm so high on misery ft Azel   And I'm so high on misery ft Azel EmptyDim 13 Déc - 18:05

And I'm so high on misery



D’un ton presque désabusé tu confiais à la jeune femme ton espoir de faire de tes hommes des gentlemen dignes de ce nom alors que les scènes qui se jouaient à chaque coin de la pièce, leurs mains sur les corps dénudés de jeunes danseuses, le rendait vain, ce qu’elle ne se priva pas de te faire remarquer arguant que si ton combat était très louable - à ce choix de mot, l’ombre d’un sourire se dessina sur tes lèvres- le simple fait d’être ici le rendait nul. Il n’y avait rien de beau ou de digne dans ces fêtes et même si tu ne pouvais pas le nier, chaque recoin de cet endroit transpirant la débauche, tu ne pus t’empêcher de répliquer, presque amusé par la joute verbale à laquelle vous vous adonniez.

“Je ne serais pas aussi prompt à juger si j’étais vous. Vous voyez le petit là-bas ?”

Tu montrais d’un geste de la main un jeune homme blond aux traits délicats, perdu au milieu d’un groupe d’hommes tous plus rustres et avinés les uns que les autres, tu montrais d’un geste de la main un jeune homme qui ne semblait pas savoir quoi faire de ses bras ou de ses jambes, qui touchait les fesses d’une danseuse sans avoir l’air de vraiment le vouloir alors que le reste du groupe applaudissait et braillait bruyamment pour saluer sa performance, tu montrais du doigt un jeune homme qui semblait vouloir s’enterrer promptement six pieds sous terre.
Tu finis par détourner le regard avec l’impression désagréable de pouvoir ressentir l’embarras de l’enfant, comme une sensation poisseuse qui t’accompagnerait pour le reste de la soirée.

“Jones est un suiveur qui désapprouve en silence et dont les autres abusent sans honte. Quand il décidera davantage de s’affirmer alors le monde pourra probablement compter un gentleman de plus. Tous ne sont pas des cas désespérés”

Du moins tu espérais que ce jour arrive, tu espérais que le petit Jones finirait par entendre ce que tu disais et par arrêter de suivre un groupe qui lui demandait d’agir en contradiction avec ses valeurs profondes tout en sachant très bien qu’il pouvait tout aussi bien y renoncer et sombrer à leurs côtés car la vie était faite ainsi, constamment en équilibre sur le fil du doute, il suffisait parfois de peu de choses pour se laisser basculer d’un côté ou de l’autre, tu étais bien placé pour le savoir, toi qui avait décidé de renoncer à tout ce en quoi tu croyais simplement par gratitude, simplement par amour pour ta fille, cette enfant que tu avais pourtant passé des années à refuser d’aimer.

D’un geste tu écrasas une cigarette avant d’en allumer une autre, ne comptant même plus le nombre qui s’étaient déjà consummées entre tes lèvres depuis le début de la soirée et lorsque la jeune femme reprit la parole, ce fut cette fois un véritable sourire qui se dessina sur ton visage.  Est-ce que la soirée ne te paraissait pas longue, passée seul avec pour seule compagnie celle de la colère, de la nicotine et de l’alcool ? Tu ne pris même pas le temps de chercher un mensonge crédible avant de simplement souffler.

“Vous n’imaginez pas”

Tu n’ajoutas pas que tu n’aurais pas été contre un peu de compagnie, ton esprit et surtout la culpabilité qui ne cessait de t’accompagner à chaque seconde de ta vie depuis le départ de ta femme, ne te l’aurait pas permis.


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