Nom :Error 404; not found. Les machins ne possèdent rien, pas même un patronyme; tu ne fais pas exception à cette triste règle. Prénom :Clara, choisit arbitrairement par tes anciens propriétaires. Type d'androïde :KL900. Simple spectatrice de la misère humaine, tu es Assistante sociale est la fonction qui t’a été attribuée lors de ta création. Age :Deux ans réellement (presque trois), ta date de mise en circulation remonte à 2036. En apparence, tu donnes l’impression d’être une jeune trentenaire. Sexe :Féminin, sans le moindre doute; les courbes et lignes fines sont bien présentes. Date & lieu de naissance : Comme dit un peu plus, les modèles KL900 ont fait leur apparition pour la première fois en 2036. Quant à toi, tu as été produite le 4 juin 2036, pour être confiée aux services sociaux où tu officieras le 8 juin 2036. Nationalité : Drôle de question, les androïdes n’ont pas de nationalité. Mais si tu dois à tout prix répondre à la question, alors tu dois bien avouer que tu te considères comme américaine. Cela n’a pas réelle importance dans le fond. Groupe :Non-déviants, ta progammation est toujours bien en place et toi tu es de marbre face au reste du monde. Orientation Sexuelle :Indifférente, tu n’as ni préférences, ni envies particulières; tu n’es qu’une machine. SituationSolitaire pour toujours et à jamais, semble-t-il. Occupation/Métier :Assistante sociale, tu t’occupes de la misère humaine que les humains eux-même rejettent. Avatar : Astrid Bergès-Frisbey (DANDELION) Double Compte ? Non
Physique
Et quand tu te regardes dans le miroir, Clara, tu ne sais pas trop ce que tu vois. Il y a bien ton reflet qui te fait face (presque fière (oserait-il te narguer ?)), mais tu ne sais jamais trop quoi en faire ; tu as l’air terriblement humaine, même si tu ne l’es pas. Et ces paupières (ce sont les tiennes) qui papillonnent alors que tu t’observes, ce corps construit par la main humaine comme une prison dont tu ne saurais te détacher. Tu te regardes avec (software instability) presque une certaine hésitation, à la recherche de quelque chose (software instability (mais tu ne sais pas quoi)). Tu commences par le haut, le sommet de ton crâne où une chevelure épaisse et sombre prend sa source. Détachées, tes longues mèches ont tout le loisir de faire ce qui leur plaît, comme si elles possèdaient une volonté propre (ce n’est pas pour rien qu’on t’ordonne souvent de t’attacher les cheveux (et toi, machine obéissante, tu t’éxécutes sans dire un mot)), cascadant jusqu’au bas de tes omoplates en plastique. Peut-être que tu devrais te donner un petit coup de peigne, avant qu’on te reprenne sèchement à nouveau. Tu chasses rapidement cette pensée de ton esprit alors que tu croises ton propre regard ; là, au-dessus de ton nez finement dessiné, deux grandes orbes noisettes, encadrées par de longs et épais cils (on dirait qu’on t’a mit du mascara (tu as de grands yeux de biche, comme on dit)). Tes sourcils bien dessinés viennent apporter une certaine profondeur à ce regard dans lequel on se perd déjà si facilement. Et ces paupières qui papillonnent une nouvelle fois. Tu baisses les yeux vers ton nez (tu survoles la chose (il n’y a rien d’intéressant à dire à ce sujet (c’est un nez comme un autre))). Il n’y a rien de bien intéressant à dire non plus au sujet de ta peau ; c’est une peau bien blanche, bien pâle avec quelques tâches de rousseur déposées artistiquement ici et là. Tu as l’air terriblement humaine (même si tu ne l’es pas). La prochaine étape est ta bouche, tes lèvres pulpeuses. Tu t’autorises un demi sourire tout artificiel, comme celui que tu adresses à ces pauvres gens dont tu t’occupes au quotidien ; une pseudo-sympathie que l’on a programmé dans ton système. Une fois cela fait, tu te donnes un coup d’oeil un peu plus général. Ta LED sur ta tempe droite, presque cachée sous l’une de tes mèches brunes, attire ton regard ; elle pulse de cette douce lueur jaune qui indique que tu es (software instability (soucieuse) en pleine observation. Tu détournes rapidement le regard, préférant te concentrer sur ta silhouette. Tu ne sais trop quoi faire, quoi dire à ce sujet non plus. Tu n’as rien de vraiment remarquable, Clara ; tu es de taille moyenne, tu es relativement fine … Tout ce qu’il y a de plus ordinaire en soi. La seule chose que l’on peut vraiment remarquer est cet uniforme qui te cantonne à ton statut d’androïde (ton numéro de modèle bien indiqué sur ton échine courbée (ton nom apparaissant sur ta poitrine)). Et il n’y a vraiment rien à dire ; tu as l’air terriblement humaine, même si tu ne l’es pas. Alors, rapidement, sans faire un bruit, tu te détournes du miroir. Tu as bien d’autres choses à faire, au lieu d’observer bêtement ton reflet.
Caractère
Tu ne saurais trop te décrire, Clara ; tu ne saurais porter un regard (quel qu’il soit (mais le plus objectif possible)) sur la personne chose que tu es pour ensuite faire la liste des défauts et qualités qui ont été intégrés tout au fond de ton code (à défaut d’avoir une âme (software instability)). Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé (la question ne t’a été que très rarement posée (mais c’est aussi une question de satisfaire cette curiosité qui te prend parfois (oh, voilà ainsi ton premier défaut))), mais tu n’as jamais trouvé rien de bien intéressant. Avec tes sourires tristement superficiels et cette douceur programmée pour apaiser les coeurs, tu n’es pas certaine d’avoir une véritable personnalité en dehors de ta fonction. Tu es parfaitement docile, tu obéis aux ordres que l’on te donne sans réfléchir (tu n’as pas été conçue pour cela, de toute façon (les mots des humains sont tes lois (la désobéissance un concept plus qu’inquiétant))). Toujours, tu t’éxécutes avec une fluidité de mouvements captivante ; de tes petites mains blanches, tu attrapes avec une presque (software instability) tendresse les petites mains tendues dans ta direction. Tout est faint, tout est programmé. Tu es tout simplement faite pour apparaître comme rassurante et douce, tu es faite pour appaiser les coeurs et les esprits (tout n’est finalement que mensonge (vraiment ? (n’es-tu pas réellement ce que l’on pourrait considérer comme une âme douce et châritable ?))), tout n’est qu’une illusion un peu fade de la perfection.
Parce que c’est ce que tu es, dans le fond ; fade. Fade à la manière dont le sont les fleurs en plastiques (celles qui ne subissent pas les âffres du temps (qui ne fânent jamais)). Tu ne t’énerves jamais comme les humains sont succeptibles de le faire, tu as toujours un sourire (terriblement superficiel (tristement faux)) bien en place sur tes lippes maquillées de rouge. Ta voix fluette (comme une chanson que l’on humme (quelques petites notes légères)) ne s’élève jamais au-delà d’un doux murmure ; tu sembles tout bonnement incapable de t’énerver, Clara (tu as ce calme froid qui en désarçonne plus d’un (tu encaisses les coups sans rien dire (poupée parfaite à la porcelaine fêlée))). Tu restes de marbre, quoiqu’il advienne ; ton sang-froid a été rigidement programmé (parfois, tu as peur (software instability) que les humains en colère (à la dérive) ne s’en prennent à toi (c’est déjà arrivé (mais tu ne peux rien laisser paraître)). Tu ne parles que lorsqu’on s’adresse à toi spécifiquement, tu as cette réputation d’être fort taciturne (tu n’as juste rien de bien intéressant à dire, Clara (tu n’es, après tout, qu’une simple machine (quoique Julia puisse bien en penser))). Julia … Tu l’aimes bien la tolères agréablement, cette collègue si chaleureuse, si souriante (mais pas comme toi (son sourire semble illuminer la pièce, dès qu’elle arrive)). Et il semblerait que Julia t’apprécies, d’une certaine manière (tu ne saurais trop comment expliquer la chose (son visage se fend toujours d’un sourire dès qu’elle pose les yeux sur ta carcasse métalique)), et tu ne saurais dire ce que cela évoque en toi (une chaleur certaine (qui te donne envie de sourire comme jamais tu n’as souris (tu ravales toujours ces sourires qui t’apparaissent comme étranges))).
Dans le fond, Clara, si on devait te décrire en quelques mots seulement, on dirait sûrement que tu es une gamine (perdue (et effrayée)). Tu as cette naïveté presque touchante propre aux jeunes, tu as cette peur de l’inconnu et du changement (bien que tu ne devrais pas avoir peur (tu le sais)) que tu ne parviens pas réellement à expliquer. Alors, bien malgré toi, tu t’enfonces dans ces mécanismes que tu connais si bien, tu te caches derrière ta programmation pour que le monde extérieur ne t’atteigne pas.
LOADING OS … SYSTEM INITIALIZATION … CHECKING BIOCOMPONENTS … OK INITIALIZING BIOSENSORS … OK INITIALIZING AI ENGINES … OK
MEMORY STATUS … ALL SYSTEMS … OK
READY|
Tu ouvres les yeux pour la première fois et c’est une sensation perception un peu étrange qui envahit tout ton système ; la blancheur des murs qui t’entourent te fait battre frénétiquement des paupières alors que tu regardes à droite et à gauche curieusement. Tu t’éveilles lentement, pour la première fois. Tu ignores encore tout de ta nature (de ce que tu es (et surtout de ce que tu n’es pas)), mais cela ne semble pas si important que cela, dans l’instant. Face à toi, deux personnes se tiennent ; un homme (à l’allure plus que sombre (avec un uniforme sur lequel Cyberlife est écrit nettement (la chose attire ton œil))) et une femme (blonde (avec un bien trop large sourire (ses yeux pétillent étrangement))). L’homme prend la parole en premier. « Androïde 313-207-277, enregistre ton nom. » Il se tourne vers la jeune femme, qui fait un pas dans ta direction. Son sourire est toujours aussi rayonnant. « Clara. » Et c’est un sourire tout superficiel qui vient fendre le bas de ton (si parfait) visage, alors que tu enregistres l’information. C’est d’une voix toute aussi fausse que tu confirmes que tu as bien compris ce tout premier ordre. « Je m’appelle Clara. » La jeune femme t’adresse un sourire plus large que le précédent (tu ne comprends pas (que veut dire ce sourire)) alors que l’homme l’attire un peu plus loin. Tous deux se mettent à parler d’un ton tout bas, tu ne parviens pas à saisir le sujet de leur discussion. Peu importe, cela ne t’intéresse pas, en tous les cas. Quelques longues minutes s’écoulent avant que seule la blonde ne revienne à ta hauteur. Un nouveau sourire. Elle passe une main dans ses longues mèches claires, semblant chercher ses mots. Puis la voilà qui t’attrape un peu abruptement par la main, te forçant à descendre du promontoire sur lequel tu étais perchée jusqu’à cet instant précis. « Ravie de faire ta connaissance, Clara. Je m’appelle Julia et, dorénavant, tu travailleras avec moi. » Tu hoches la tête un peu sèchement, d’un mouvement qui aurait donné mal au cou à n’importe quel humain (mais tu n’es pas humaine, alors tout va bien (il faut juste que tu t’habitues au fait que, maintenant, tu existes))). Julia, te tenant toujours par la main (un comme si elle te considérait comme une enfant (tu es encore toute jeune, tu as à peine quelques minutes, Clara)), t’entraine à sa suite en t’expliquant en détails ce rôle qui serait le tien. Tu l’écoutes attentivement, comme tu as été programmée à le faire.
❁❁❁
Il y a des cas qui sont plus difficiles que d’autres (qui te dégoûteraient presque de l’humanité (si tu pouvais être dégoûtée de quoique ce soit)), des cas qui, parfois, te dépassent. Le cas que tu dois affronter aujourd’hui est l’un d’eux ; un père démissionnaire et ses fils à la dérive, perdus dans le chaos de la vie pitoyable qu’il a forcé sur leurs frêles épaules. Votre rôle (le tien et celui de Julia) est de persuader ce (mauvais (mais tu gardes tes jugements de valeur pour toi)) père à trouver de l’aide dans quelques institutions non loin de là et d’aider ces deux enfants à ne pas se sentir si perdus. Rien de bien compliqué en soi, c’est quelque chose que tu as déjà fait. Mais voilà, le père refuse l’aide que vous pouvez lui offrir et se met à crier à pleins poumons (instinctivement, ses fils ont pris la fuite (probablement que tu aurais du faire la même chose)). Julia s’éclipse dans le couloir pour appeler la police (elle t’a soufflée l’information en passant) et toi tu restes clouée sur place alors que l’homme entre dans ton espace personnel, portant un doigt accusateur sur ton chassis en plastique. Tu recules d’un pas, il en avance de deux. Tu entends Julia qui parle dans son téléphone, mais il est déjà trop tard ; l’agressivité de l’homme finit par exploser alors qu’il commence à te frapper. Tu n’as pas mal, Clara (qu’est-ce que la douleur, après tout), mais ton chassis en plastique cède alors que les coups pleuvent. Tu appelles ta collègue d’une voix froide et distante, alors que ton petit corps tout synthétique heurte le sol. Aurais-tu été humaine, tu ne doutes pas une seule seconde que la terreur se serait emparée de toi (mais tu n’es pas humaine (alors tu restes de marbre face à cette triste injustice (tu n’es qu’une machine, Clara))). Tu t’effondres comme un château de cartes, alors que les enfants crient (et Julia qui crie, aussi (elle s’inquiète, tu en es sûre)). Tout se fait étrangement distant autour de toi, les messages d’alarme et d’erreur se font trop nombreux dans ton champs de vision. Et finalement, tout se fait noir.
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MEMORY STATUS … ALL SYSTEMS … OK
READY|
Et comme si de rien n’était, tu reviens à la vie. Julia reste (bizarrement (parce que tu ne comprends pas vraiment)) ébranlée par l’incident (c’est ainsi qu’on parle de la chose (c’est un incident dont tu as été la victime)) et te regarde avec ses grands yeux bleus, comme si elle ne parvenait pas à croire que tu te relèves de l’assaut dont tu as été la triste victime. Pour ta part, tu restes de marbre face à la chose ; tu imposes une distance entre les évènements et ton être. Tu n’y réfléchis pas plus que cela (tu n’en as pas envie (la situation est juste franchement injuste et c’est bien là tout ce qui compte)). Tu t’empresses de laisser tout cela derrière toi, te concentrant sur les tâches qui te sont confiées. Et, bientôt, plus personne ne parle de ce qui t’est arrivé, l’incident semble être tombé dans l’oubli. Toi-même, tu oublies un peu, aussi (il ne te reste que ce terrible sentimenttu ne sais trop quoi d’injustice). Mais Julia n’oublie pas, elle ; elle te garde à l’oeil, elle ne supporte que difficilement le fait que tu t’éloignes d’elle (et tu ne comprends pas, Clara (parce que tu n’es qu’une machine)). Tu la laisses faire sans rien dire. Il n’y a rien, de toutes façons, que tu puisses faire pour l’empêcher d’agir ainsi. Alors tu endures, comme tu endures le reste de ton existence. Une nouvelle routine s’installe. Les semaines et les mois s’enchainent sans que rien ne change pour toi. Puis, finalement, une révolution. Une révolution (tes camarades machines se révèlent être bien plus que ce qu’elles ont été créées. Tu es curieuse interloquée, Clara, tu regardes sans trop savoir pourquoi les images qui défilent sur l’écran de la télévision du bureau. Et Julia qui te demande ce que tu penses de tout ça, et à toi de lui dire que tu ne penses pas grand-chose de tout cela (ce qui est tout à fait vrai (tu n’es qu’une machine, tu ne penses à rien)). La révolution passe, les choses changent. Sauf toi. Toi, tu restes la même. Julia te regarde étrangement, souvent. Elle te pose des questions auxquelles tu ne sais pas répondre (parce que tu n’es qu’une machine, Clara (software instability)), elle cherche quelque chose, sans que tu ne saches vraiment quoi.
Et tu n’as pas vraiment le temps d’interroger ta collègue, déjà tu dois partir. Partir où ? Cela n’a pas réellement d’importance, dans le fond. Tu n’en as que faire. Tu sais juste qu’on vient te chercher, suite à cette dite révolution, qu’on t’arrache à la figure familière qu’est devenue Julia (et tu n’es pas sûre d’apprécier, Clara (mais on ne demande pas leur avis aux machines (alors tu ne dis pas un mot, tu te contentes de suivre le mouvement))) pour que tu rejoignes la Coalition. Et (comme à ton habitude, Clara), tu t’éxécutes silencieusement. Et si Julia te manque (software instability) tu n’en dis pas un mot. Et si tu n’aimes pas vraiment ta vie ton existence au sein de cette Coalition dont tu sais bien peu de choses, tu restes silencieuse aussi.
Tu n’es, après tout, qu’une machine, Clara. Et les machines ne se plaignent pas.
Dernière édition par Clara KL900 le Jeu 3 Sep - 17:30, édité 1 fois
Phoenicia Reid
Admin ▲ Fox
Âge : 30 Messages : 264 Date d'inscription : 14/07/2020 Localisation : Look behind you ~ Emploi/loisirs : Artiste indépendante/ Fox à la Coalition
Sujet: Re: breath of life ; (clara) Jeu 3 Sep - 15:33
Bienvenue sur le forum ma chère J'adore le choix du vava, elle est si belle ** Bon courage pour la suite de ta fiche, j'hâte de lire l'histoire c: Si tu as des questions surtout n'hésite pas à les poser on est là pour ça
Jake Price
Admin ▲ Wolf
Âge : 35 Messages : 530 Date d'inscription : 13/07/2020 Localisation : Dans les emmerdes Emploi/loisirs : Armurier de Detroit / Wolf à la Coalition
Sujet: Re: breath of life ; (clara) Jeu 3 Sep - 15:47
Coucou et bienvenue à toi chère jolie androïde Comme l'a si bien dit Phoeni, le staff se tient à disposition à la moindre question ou hésitation =)
Bon courage pour la suite de ta fiche Hâte de rencontrer ce perso qui semble bien intéressant
Invité
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Sujet: Re: breath of life ; (clara) Jeu 3 Sep - 16:21
@Phoenicia Reid merci beaucoup j'espère que mes choix continueront de plaire ! & promis, je n'hésiterai pas à venir enquiquiner le staff si besoin est
@Jake Price merciiii pour cet accueil comme dit à Phoenicia, je n'hésiterai pas à venir vous embêter en cas de besoin !
Invité
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Sujet: Re: breath of life ; (clara) Jeu 3 Sep - 16:23
Bienvenue parmi nous ! C'est un plaisir de te revoir. Bon courage pour ta fichette qui est déjà pas mal avancée ! Et au besoin, tu sais où nous trouver.
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Sujet: Re: breath of life ; (clara) Jeu 3 Sep - 16:43
Bienvenuuuue parmi nouuus
Invité
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Sujet: Re: breath of life ; (clara) Jeu 3 Sep - 17:31
@Taylor Wynter promis, je n'hésiterai pas merci beaucoup pour l'accueil
C'est un plaisir d'avoir une autre androïde toute mimi au sein de la Coalition. C'est promis ! Il ne lui arrivera rien de mal. Et en plus, elle pourra faire amie amie avec notre Laora !
Ton destin t'appartient ! Libre à toi de choisir ton camps. Humain ou Androïde, peu importe qui tu es, le plus important c'est ce que tu vas mettre en place pour faire entendre ta voix !
Si tu as des questions, pose les à l'équipe du staff ! On sera ravie de te répondre. Pour finir et de notre part à toutes, félicitations et bon jeu parmi nous !