AccueilAccueil  CalendrierCalendrier  Dernières imagesDernières images  FAQFAQ  RechercherRechercher  MembresMembres  GroupesGroupes  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-39%
Le deal à ne pas rater :
Ordinateur portable ASUS Chromebook Vibe CX34 Flip
399 € 649 €
Voir le deal

Partagez
 

 Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Jo Schweigger
Jo Schweigger
Humaine
Âge : 24
Messages : 7
Date d'inscription : 09/04/2021
MessageSujet: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger EmptyVen 9 Avr - 19:48

Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger AdmirableTimelyHammerkop-size_restricted

Josephine “Jo” Schweigger

Humains

.

Identité

Nom : Schweigger.
Prénom : Josephine, qu’elle n’apprécie absolument pas. Josephine est son nom sur les documents officiels, qu’elle pourrait probablement faire changer si elle n’avait pas la fainéantise de toujours remettre ça à plus tard. Ce n’est lié à aucun trauma, simplement ce nom fait très vieux, et trop long. Jo, c’est bien. Appelez-la Jo.
Age : 24 ans.
Sexe : Féminin.
Date & lieu de naissance : Née le 6 novembre 2015, à Atlanta.
Nationalité : Américaine, mais avec des racines allemandes. Peut-être aussi un petit peu autrichiennes, mais c’est un côté qu’elle n’a absolument pas creusé. D’autant qu’elle ne parle pas un mot d’allemand.
Groupe : Humains.
Orientation Sexuelle : Asexuelle et hétéroromantique. Dites-vous au moins que si elle s’intéresse à vous, c’est pour un vrai petit quelque chose en plus et pas juste pour votre derrière.
Situation Célibataire.
Occupation/Métier : Ingénieure fraichement diplomée, travaillant dans une petite boite de traitement de données.
Avatar : ft. Jodelle Ferland.
Double Compte ? Non.

Physique

Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger 8807da2fd89883c4137eeab9d3957fa4
Avec sa petite taille et ses joues rondes, on peut aisément confondre Jo avec une gamine. Peut-être une adolescente. Eh, on ne choisit pas le corps dans lequel on nait ! Peut-être avec des jambes plus longues, un visage plus marqué, un petit peu plus angulaire, elle aurait fait adulte. Bah, tant pis. Ses cheveux sont bruns, mais rarement montrés dans leur couleur naturelle. Jo a pris l’habitude de les teindre, et change assez régulièrement. Il y avait peu de temps, ils étaient roses. Maintenant ils sont verts. Peut-être que dans pas longtemps ils seront bleus… Allez savoir. Pour l’instant, elle apprécie le vert. En termes vestimentaires, elle apprécie ses motifs fleuris. Elle n’a jamais fait pousser la moindre plante, mais sur des vêtements, elle trouve ça chouette. Peut-être que c’est le côté vintage qui l’intéresse, mais même elle ne saurait pas trop dire. Tout ce qu’elle sait, c’est qu’elle aime ce qu’elle porte, et c’est tout. Elle fonctionne au coup de cœur !

Caractère


Jo se considère comme quelqu’un d’ordinaire. Et comme tous les gens ordinaires du monde, elle se pense donc extraordinaire. Unique, précieuse, irremplaçable, le monde l’attend en ouvrant grand ses portes. Après tout, c’est comme ça qu’on perçoit sa nouvelle vie maintenant qu’on a un diplôme en poche, n’est-ce pas ? Un diplôme bien brillant, et surtout, très mérité. Il faut qu’elle s’est beaucoup donné pour l’obtenir. Si elle n’est pas quelqu’un de très motivé, elle sait se donner des baffes quand elle en sent vraiment l’intérêt. La motivation, c’est absolument tout ce qui lui faut pour atteindre les objectifs qu’elle se fixe. Le travail et les efforts viennent d’eux-mêmes et le talent… Bah, le talent. Le talent, ça n’existe pas. Avec un peu de jus de cerveau, de l’huile de coude, de persévérance et une pincée de neurones qui fonctionnent, on peut se donner aisément les moyens.

Ayant dû s’occuper d’elle-même pendant une grande partie de sa vie, si ce n’est sa totalité, elle a depuis longtemps perdu la capacité à s’ouvrir et à faire confiance. Pourquoi faire, après tout ? On n’est jamais mieux servi que par soi-même, alors autant commencer par là. De toute façon, elle n’a jamais vraiment eu d’amis. Du moins, avant d’entrer dans ses études supérieures. Les gens, ce n’était réellement pas ce qui l’intéressait. C’était une enfant solitaire, et maintenant… disons qu’elle ne sait plus trop. Elle n’aime toujours pas les gens, mais un par un, individuellement, ça peut aller. Soit trop à l’aise, soit pas assez, la socialisation ce n’est vraiment pas sa science préférée.

Par contre, eh… N’allez pas croire. Derrière ses airs « hm, oui, je suis intelligente, en tout cas plus que vous ! », dites-vous qu’elle a regardé les six saisons de Gossip Girl et ça reste un plaisir coupable de les revoir de temps en temps.



Histoire


Un moment en particulier lui revenait souvent, quand elle s’endormait ou prenait sa douche. Un souvenir comme un autre, qui n’était pas vieux. Ce matin, à neuf heures quand elle s’était rendue à l’une des nombreuses conférences de son campus. Un homme brillant s’était adressé à la centaine d’étudiants, et elle ne se souvenait plus de son nom. Quelqu’un lui avait posé la question « Est-ce qu’on peut officiellement dire que la machine met en danger l’homme en tant que créature la plus intelligente de la planète ? » Question logique, d’autant que l’homme en question était un expert dans le domaine. Et puis, c’était aussi une question classique. Tout le monde la demande toujours à tout le monde, dans les interviews, à la télévision, en parlant bien sûr des androïdes qui inondaient la société. Mais la réponse de cet homme lui restait. Il avait soufflé, sourit, bu une gorgée d’eau, et avait dit : « Dieu merci l’intelligence ne se définit pas simplement par des victoires aux échecs. Elle se définit aussi par la capacité de faire un sandwich. » Tout le monde avait ri, elle aussi. Il prenait la chose d’un ton léger, et pourtant, il n’était pas un rigolo venu pour amuser la galerie. Il y avait une différence flagrante entre les humains et les androïdes, c’était la spécialisation. L’humain faisait un peu de tout dans sa vie, il cuisinait selon ses envies, il jouait à ce qui lui faisait plaisir, se rappelait qu’il avait un rendez-vous, courir parce qu’il est en retard en s’inventant une chanson sur le trajet. L’androïde, lui, faisait ce pour quoi il était programmé. Et c’était comme ça. Comme un téléphone, il répondait à une fonction et n’en dérogeait pas.

C’était un aspect qu’elle avait souvent eu l’occasion de voir pendant toutes ses années d’étude, et même avant. Quand on écrit quelques lignes de code, on ne s’attend pas à ce que ça engendre des sentiments. C’est du code. Juste du code. Des chiffres et des lettres tapés entre deux tasses de cafés dans le but de créer une fonction concrète. Allumer une LED. Créer des cercles. Automatiser l’allumage d’une pièce.

Et à plus grande échelle, permettre à un androïde d’accéder à une base de données et de, pourquoi pas, télécharger une nouvelle langue dans son disque dur pour s’adapter à un public étranger. C’était froid, peut-être. Mais concret. Pragmatique. Les gens en avaient besoin. Car ça vient bien de là, non ? Du besoin.

Et le besoin, elle l’avait toujours connu. On a toujours besoin de quelque chose. Les androïdes n’étaient alors que des outils répondant à cela. On voyait souvent dans les publicités des androïdes de luxe pour une vie de luxe, des aides à la personne, des partenaires idéaux… Le premier androïde qu’elle a connu, c’était ce modèle un peu vieux qui gérait l’administration de l’établissement où elle a été élevée. Elle n’a jamais trop su ce qui était arrivé à son père, mais sa mère était décédée dans un accident de la route quand elle était encore très jeune. Alors quand vient le moment d’essayer de se faire des amis, elle avait essayé de parler à cet androïde. Quand on est enfant, on ne fait pas bien la différence entre organique et mécanique, mais cet androïde avait un sourire gentil. Elle avait tenté sa chance. Mais il était creux. À force de tentatives, alors qu’elle n’avait pas encore dix ans, elle avait fini par voir les motifs de ses réponses. Comment il réagirait si elle posait sa question de telle façon, combien de bonbons il pouvait offrir selon le comportement. Trois mots polis en moins de deux phrases, c’était un bonbon. Quatre mots polis, là par contre, c’était deux bonbons, mais l’un des deux était petit. Et à partir de dix-huit heures tapantes, c’était fini, plus de bonbons avant dix heures le lendemain matin. C’était d’une logique implacable. Après tout, c’était une machine.

À l’école, elle réussissait plutôt bien. Plutôt même très bien. Les exercices étaient d’une facilité presque insultante, et l’ennui était souvent là. Grâce à certaines aides de son orphelinat, Jo a réussi à participer à quelques concours. Rien de bien sorcier, il fallait simplement répondre à des questions et remporter plus de points que d’autres gamins. Mais voilà, ces questions valaient cher. De l’argent qui lui sera forcément utile. L’argent était toujours utile. De fil en aiguille, bien qu’elle n’ait jamais eu l’âme ambitieuse, elle finit par obtenir une bourse pour ses études. Oh elle avait compris que sa réussite était d’un grand soulagement pour son orphelinat : avoir une gamine surdouée qui remporte des concours, ça rehausse la réputation et attire davantage de partenariats financiers ! Tout le monde était gagnant.

Alors… finalement, elle s’était retrouvée au Georgia Institute of Technology. Simplement l’une des meilleures universités du monde en termes d’ingénierie et d’informatique. Elle qui ne sortait de nulle part, et qui avait simplement quelques facilités, et une bourse en poche. Mais c’était là que commençait réellement sa vie. Dans ce campus, dans ces conférences, dans ces programmes… C’était là que pour la première fois, elle se sentait vraiment bien dans son environnement. Cet endroit était fait pour elle. Immense, bien sûr, mais tout ici était à la hauteur de ses attentes. Les gens y étaient infiniment plus intelligents qu’elle, les autres étudiants, ils semblaient venir de la même planète qu’elle. Jamais elle n’avait rencontré quelqu’un à l’école, au lycée, ou même avant ça, à l’orphelinat, qui pouvait être sur la même longueur d’onde qu’elle. Maintenant, si.

Elle s’était même fait des amis. Un petit groupe d’amis. Oh ils n’étaient pas nombreux, mais à force de faire les mêmes cours, trainer ensemble le midi, échanger des idées, ils s’étaient liés. Et pour Jo… il n’y avait rien de semblable sur Terre. Ensemble, ils avaient commencé à étudier des petits bouts de l’intelligence artificielle, recréer les débuts de Cyberlife, d’Elijah Kamski. Vous savez, juste comme ça. L’IA, ça intéresse tout le monde, ici ! Alors ils avaient installé leurs ordinateurs ensemble, dans la chambre de l’un d’entre eux. Bon, si on voulait être plus précis, des ordinateurs avec plusieurs bonnes cartes graphiques. Ça coûte cher, parce que la moitié du monde les utilise pour faire des choses stupides comme miner des bitcoins ou jouer à des jeux vidéo – même si elle aime les jeux vidéo – et ils ont commencé à essayer de créer un programme qui pouvait répondre. Ça semblait vague, et ça l’était. Un programme a besoin d’un but plus concret que ça, et c’était là qu’ils avaient commencé à s’amuser. C’était absurde !

Et l’absurde… c’était le piège préféré des humains.

Vous avez entendu parler de l’IA qui était capable de trouver les exilés fiscaux à partir de paramètres dont les adresses postales ? Un fraudeur avait réussi à passer à travers le filet. Comment ? Parce que son adresse était « 25 000 000 avenue des Champs-Élysées ». Ce 25 000 000 avait rassuré l’IA parce qu’aucun fraudeur n’habitait à ce type d’adresse. Les IA ne sont pas capables de gérer les situations absurdes.

Au final, ça n’avait rien donné. Mais ça n’avait pas empêché ce petit groupe de faire plusieurs présentations à ce sujet, d’échanger avec leurs professeurs, et ailleurs, ça avait même plus à quelques entreprises. De toute façon, quand on étudie au Georgia Institute of Technology, c’est qu’on sait faire des choses de ses dix doigts et de sa tête.

Et puis, en août 2038, le premier cas de déviance d’un androïde a été déclaré.

Ça ressemblait à un bug, quelque chose qui aurait fait disjoncter l’androïde. Ou bien un piratage, même si Cyberlife se défendait en prétendant que ses machines avaient le meilleur niveau de sécurité au monde. Mais l’affaire durait un peu, dans cette université. On en parlait beaucoup, surtout au fur et à mesure que le nombre de cas grimpait, ici et là. Le hasard voulait que dans la même année, Jo soit finalement diplômée. Elle avait des plans pour la suite, notamment continuer à travailler sur cette IA, mais maintenant… elle avait peut-être mieux à faire. Detroit l’intriguait, ce mystère l’intriguait. Il se passait des choses là-bas. Trouver un appartement ne fut pas bien compliqué, les prix de l’immobilier baissaient en flèche depuis le début des agressions d’androïdes. Et trouver un travail… hum, pas plus difficile. Dans tous les services, aujourd’hui, on avait besoin d’ingénieurs. Alors Jo travaille depuis quelque temps dans une petite boite gérant le trafic de données entre différents organismes. Les heures sont fixes, le salaire est bon, et ça lui laisse le temps de vivre Detroit. Voir aux premières loges ce théâtre qui est en train de changer la définition d’une IA.

Même si… concrètement… elle ne parvient pas à croire en cette cause.



Dernière édition par Jo Schweigger le Sam 10 Avr - 13:01, édité 2 fois
Revenir en haut Aller en bas
Siren Sheean
Siren Sheean
Humaine recluse
Âge : 28
Messages : 14
Date d'inscription : 03/02/2021
Localisation : Aucun
Emploi/loisirs : Anciennement corrompue sous le ndc : Ocean. Désormais en cavale comme nomade solitaire experte mécano.
MessageSujet: Re: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger EmptyVen 9 Avr - 20:24
Bienvenue officiellement ! 

Omg cet avatar *-* Bon choix. Je l'avais sur un autre forum Razz 

Bonne rédaction ♥
Revenir en haut Aller en bas
Jo Schweigger
Jo Schweigger
Humaine
Âge : 24
Messages : 7
Date d'inscription : 09/04/2021
MessageSujet: Re: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger EmptyVen 9 Avr - 20:49
Hehehe merci bien~! :3 ♥

Vouiii c'est mon petit crush et j'ai vu qu'il était dispo (il l'est souvent quand j'arrive quelque part, c'est pratique~xD) alors j'ai sauté dessus~!
Revenir en haut Aller en bas
Hank Anderson
Hank Anderson
Humain
Âge : 53
Messages : 198
Date d'inscription : 15/07/2020
Localisation : 115 Michigan Drive, Detroit
Emploi/loisirs : Lieutenant de la police de Detroit (DPD)
MessageSujet: Re: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger EmptyVen 9 Avr - 21:18
Bienvenue à toi♡
Revenir en haut Aller en bas
Jake Price
Jake Price
Admin ▲ Wolf
Âge : 35
Messages : 530
Date d'inscription : 13/07/2020
Localisation : Dans les emmerdes
Emploi/loisirs : Armurier de Detroit / Wolf à la Coalition
MessageSujet: Re: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger EmptySam 10 Avr - 0:53
Coucou ici aussi !
Je t'ai déjà souhaité la bienvenue sur le discord, mais l'un n'empêchant pas l'autre, je le fais donc ici aussi ♥

Comme tu le sais, si tu as la moindre question @phoenicia reid et moi-même sommes là pour ça.

Bonne continuation dans ta fiche !!
Il me tarde d'en apprendre plus au sujet de Jo' =)
Revenir en haut Aller en bas
Phoenicia Reid
Phoenicia Reid
Admin ▲ Fox
Âge : 30
Messages : 264
Date d'inscription : 14/07/2020
Localisation : Look behind you ~
Emploi/loisirs : Artiste indépendante/ Fox à la Coalition
MessageSujet: Re: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger EmptySam 10 Avr - 4:56
Bienvenue sur le forum ~

J'ai hâte d'en lire davantage sur Jo' 👀
Bonne continuation pour ta fiche
Comme l'a dit si bien Jake, si jamais tu as la moindre question, n'hésite pas I love you
Revenir en haut Aller en bas
Jake Price
Jake Price
Admin ▲ Wolf
Âge : 35
Messages : 530
Date d'inscription : 13/07/2020
Localisation : Dans les emmerdes
Emploi/loisirs : Armurier de Detroit / Wolf à la Coalition
MessageSujet: Re: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger EmptySam 10 Avr - 16:09

Validation

Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger Hexago13

Bravo, te voilà arrivé dans Detroit ! Tu peux maintenant créer  ton domicile ou tout autre lieu, et mettre en place la chronologie de ton personnage, ainsi que sa fiche de liens.

Je suis ravie de voir une consœur passionnée de technologie ! Si nos chemins venaient à se croiser, saches que je suis très... "gentil" !

A présent, ton destin t'appartient ! Libre à toi de choisir ton camps. Humain ou Androïde, peu importe qui tu es, le plus important c'est ce que tu vas mettre en place pour faire entendre ta voix !

Si tu as des questions, pose les à l'équipe du staff ! On sera ravie de te répondre. Pour finir et de notre part à toutes, félicitations et bon jeu parmi nous !

Halloween
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger   Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger Empty
Revenir en haut Aller en bas
 

Chanel boots ? You're such an horrible human being. || Jo Schweigger

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Jo Schweigger || LIENS

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Detroit Become Human Apocalypse :: Flood et Cie :: Archives :: Fiches-