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 We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé]

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MessageSujet: We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé]   We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé] EmptyDim 19 Juil - 11:19

We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé] 1586af52de20d27b4631c4d9bf6c36ad

Aedan L. Pritzker



Humain

.

Identité

Nom : Pritzker.
Prénom : Aedan Loghain.
Age : 34 ans mais c'est très bientôt son anniversaire.
Sexe : Masculin.
Date & lieu de naissance : 25 mai 2004.
Nationalité : Américaine.
Groupe : Humain.
Orientation Sexuelle : Gay/PolyA.
Situation C'est compliqué.
Occupation/Métier : Ancien prostitué/Ancien SDF/Ancien Passeur/Ancien serveur au Jimmy's Bar/Nouveau propriétaire de l'ancien Jimmy's Bar, renommer The Haven.
Avatar : ft. Tom Payne
Double Compte ? non

Physique

We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé] Nextworld2
A une époque, Aedan était le genre de jeune homme plutôt propre sur lui bien qu'il avait déjà un certain goût pour les cheveux plus long mais on ne le laissait pas avoir la coupe de cheveux qu'il souhaitait quand il était encore ado. A la place, il portait des cheveux mi-long et ressemblant à de nombreux acteurs pour midinette des années 90 ou début 2000, genre Leonardo Dicaprio dans Romeo + Juliette.
Toujours à l'époque, il portait souvent l'uniforme de l'école privée dans laquelle il se trouvait, et en dehors de ça c'était une chemise et un pantalon, parfois un jeans...Des chaussures de villes...

Difficile à croire quand on le voit aujourd'hui avec ses longs cheveux et surtout sa barbe. Un jeans abimer tombant sur ses hanches, un vieux t-shirt, parfois un long manteau, parfois un bonnet...On est très loin du standing que son nom de famille est censé imposé mais en même temps...Ca fait longtemps qu'il ne se considère plus comme un Pritzker.
Certains le surnomme Jesus à cause de ces allures, de ses cheveux long et de sa barbe.

Mais au-delà de sa tenue digne d'un sans abris, Aedan possède de nombreux aux atouts qui ont su faire leur preuve lorsqu'il souhaitait charmer un homme. Ses yeux sont certainement le plus important, de magnifique iris bleu ciel, intense et profond. Son sourire, faisant plisser ses yeux parfois, lorsqu'ils sont sincère valent également le coup d'oeil. D'autant que cela arrondit ses joues et creuses des fossettes du plus bel effet.

Il est plutôt fin, une stature athlétique, un corps sec mais néanmoins musclé. Il possède en de nombreux endroits de son corps des cicatrices, vestige d'un passé par si lointain entre les mains de la "Police" de Detroit mais également entre les mains des Androïdes. Des cicatrices plus vieilles date de l'époque où il survivait dans les rues.

Il ne possède aucun tatouage cependant, malgré qu'il ait le look à en avoir. Idem pour les piercings. Ce n'est pas qu'il aime pas ça mais ça coute une blinde et il a d'autre chat à fouetter.

Caractère


Pour ceux et celle qui le rencontreront de manière occasionnelle, il aura l’air d’un homme souriant, poli, serviable. Essayant régulièrement de faire rire ou d'amuser la galerie. Quelqu’un de sympathique en somme avec qui il n’est pas désagréable de passer du bon temps. Pour eux, c’est un homme qui a le cœur sur la main, un homme passionné, droit dans ses bottes, loyales et généreux.

Pour ses amants d’un soir, ils le décrivent comme un assoiffé de contrôle, un homme qui a beaucoup de mal à se laisser aller, peut-être même à faire confiance et c’est peut-être même pour ça qu’on parle d’amants plutôt qu’ancien compagnon. Malgré sa soif de contrôle, il n’est pas le genre à prendre sans donner même s’il n’est pas non plus du genre à s’attarder jusqu’au lendemain.

Pour sa famille, il n’est rien d’autre qu’un malade, un égoïste qui s’est toujours montré ingrat. Un menteur et un voleur, un homme qu’ils préfèrent tous l’oublier et ne jamais avoir à recroiser de leur vie. D’ailleurs, aux yeux de sa famille, il n’a tout simplement jamais existé.

Pour les rares ami(e)s très proche, ils comprendront rapidement que ses sourires, ses plaisanteries et ses réactions parfois puérile et immature ne sont rien d’autres qu’une façon de se protéger des autres sans avoir à les blesser. Certains comprendront pourquoi, d’autres auront même la chance de connaître les raisons, mais tous s’accorde à dire qu’il est plutôt du genre à bien cacher son jeu et à ne jamais ou presque jamais se montrer vulnérable malgré une apparente sensibilité.

Mais pour tout le monde, il est très clair que c’est un homme qui ne faut pas pousser à bout. Aedan a de la patience mais les derniers évènements de sa vie ont fini par le rendre beaucoup moins tolérant face à la violence et à générer, paradoxalement, une certaine violence en lui. Bien qu’il déteste en arriver là, il est prêt à tout pour protéger le peu de chose qu’il possède.

Aujourd'hui Aedan est beaucoup moins souriant et joviale qu'avant. Que ça soit Markus et ses fanatiques ou la coalition, il ne croit en aucune des deux causes qui pour lui sont une perte de temps et une quantité d'énergie dépenser inutilement dans la violence. Cependant, s'il rêve d'un monde en paix, il n'est pas exempte de paradoxe et de défaut. Aedan est capable de vriller, de plonger dans la violence également. Ayant vu et vécu ce qu'il y a de pire chez les humains comme chez les androïdes, il est aujourd'hui beaucoup moins enclin à se montrer calme et patient lorsqu'il remarque que cela est une perte de temps.

Sa neutralité l'ont amené à connaître beaucoup de monde, des deux côtés, c'est un homme au réseau plutôt conséquent. Ce qu'il se passe à Détroit, il fini systématiquement par le savoir avant que cela se passe. Mais il ne fait rien de ces informations, il les garde pour lui et si cela s'avère nécessaire, il intervint en son nom propre pour empêcher les dégâts collatéraux.


Histoire


Pritzker... Cela vous dit quelque chose ? Cela est tout à fait normal. La famille Pritzker est l’une des familles les plus riches de Chicago. Les propriétaires des hôtels de luxe Hyatt... Son héritage s’élève à plusieurs milliards de dollars et c’est dans cette prestigieuse famille qu’Aedan vit le jour. Sa mère, Eleanor, était très fières de donner naissance à un fils comme premier enfant et que dire du père, Loghain, qui était encore plus fier et rassuré de voir que son nom continuerait d’être perpétré. Une vie de rêve attendait l’enfant, il ne manquerait jamais de rien. Du moins, rien de bien matériel.

Si son père était froid, exigeant et stricte, sa mère était adorable, douce et aimante. Il était son petit ange, son petit miracle, son plus grand accomplissement et il lui arrive parfois, dans des moments d’égarement, de penser à elle avec une certaine nostalgie avant d’avoir la nausée à la simple impression de pouvoir encore sentir son parfum aux notes de violettes.

La nausée oui... Alors vous vous demandez peut-être comment et quand tout cela est partie en cacahuète ?

Au fond, même s’il ne manquait jamais de rien, cette vie stricte et bien rangée était compliqué pour lui, un fardeau à porter sur ses épaules parce qu’à l’époque, il aimait ses parents... Assez pour vouloir qu’ils soient fier de lui. Assez pour se mentir à lui-même, encore et encore…

Jusqu’à ce qu’il ait 14 ans. Cela faisait déjà quelques années qu’il ignorait l’appel de ses hormones, qu’il tentait de faire les choses de manière "normale" tout en sachant que pour lui, c’était bien ça qui n’était pas normal. Alors oui, il avait 14 ans lorsqu’il tapa pour la première fois les lettres S...E...X...G...A...Y… Sur un moteur de recherche. Il avait 14 ans lorsqu’il se laissa aller à un instant de faiblesse et se tourner vers ce qui attirait réellement son désir. Découvrant pour la première fois ce que c’était que le plaisir solitaire, les yeux rivés sur une vidéo sans son, le cœur battant, le stress d’être découvert... L’explosion... Aussitôt suivi de la honte et de l’empressement d’effacer chacune de ses traces.

Mais la honte n’était pas assez forte pour l’arrêter alors il recommença... Jusqu’à ce qu’une histoire classique d’adolescent se passe : il fut découvert en pleine action devant une vidéo. L’erreur avait été de vouloir entendre, de vouloir écouter les râles, les soupires, de vouloir entendre chaque expression de voix. Sa curiosité avait été son ennemie ce jour-là parce qu’il avait été subjugué par ses sons, beaucoup trop pour pouvoir entendre sa mère frappée à sa porte et entrée sans attendre qu’il ne l’y invite.

Il se souvient avoir hurlé le pire mensonge de l'histoire l’humanité :
"Ce n’est pas ce que tu crois !"

Tout en sachant que c’était exactement le contraire.

Il lui arrive parfois de raconter ce morceau d’histoire de sa vie à certains amis, d’en rire, allant jusqu’à imiter la scène, sa tête, celle de sa mère et faire rire ses ami(e)s avec cette anecdote mais la suite par contre... Très peu la connaisse.

Comme tout adolescent gay, il redoutait ce moment où la vérité éclatait. Sa mère l’avait rapidement laisser seul, il s’était rhabillé, avait à nouveau effacer ses traces et n’avait plus oser sortir de sa chambre jusqu’à ce que leur bonne ne vienne lui faire part que le dîner était prêt. Ce fut le repas le plus étrange qu’il ait connu, le plus silencieux, il n'osait pas regarder sa mère alors que celle-ci n’arrêtait pas de la fixer. Les conversations étaient pauvres et ce soir-là, il fut le jeune homme le moins bavard. C’était tellement inhabituel que même son père avait relevé l’atmosphère étrange autour de la table. Il avait craint que sa mère ne balance tout, mais elle n’en avait rien fait, changeant de sujet pour détourner l’attention de son père.

Il s’était senti reconnaissant à l’époque.

À la fin du dîner, il était retourné dans sa chambre, il avait pris un livre avait tenté de le lire pour se changer les idées. Cela faisait déjà une heure qu’il essayait de finir la deuxième page. Il était tellement déconcentré qu’il lisait et relisait les mêmes phrases sans vraiment les intégrés. Trois petits coups discrets à sa porte le tirèrent de sa fausse lecture, regardant dans la pénombre de sa chambre sa porte.

"Entrez."

Son cœur cognait dans sa poitrine lorsqu’il vit sa mère entrer. Elle referma la porte derrière elle et vint s’installer près de son fils.

"Ce n’est pas grave" avait-elle dit d’une voix douce "A ton âge, c’est normal de se chercher" avait-elle rajouté avec un petit sourire à la fois tendre et amusé.

"Tu l’as dit à père?"
"Non, il n’a pas besoin de savoir... Ce sera notre petit secret."

Il s’était senti rassuré…
Il s’était senti reconnaissant…

"Je serai toujours là pour toi mon ange..." Avait-elle dit en se levant, se plaçant face à lui. "Je suis là pour te protéger... Pour t’aider à grandir."

Le bruit de la soie tombant à terre, son corps se paralysant, son regard se détournant. Une main sous son menton, une étrange force qui le poussa à reposer ses yeux sur sa mère. Sa gorge sèche, son estomac se contractant légèrement. Il voulait se défaire de ses gestes, de ses mains, mais il fut sa propre trahison. Son corps ne répondait plus, obéissant à celle qui disait vouloir le protéger, vouloir l’aider.

Il s’était souvent senti sale face à ses propres désirs, mais ce soir-là, il comprit ce que c’était que d’être sale.

La honte le poussait au silence et l’histoire se répéta plusieurs fois dans les années qui suivit…
Deux ans et demi s’étaient écoulé lorsque la bonne de leur famille avait compris ce qui se passait et avait tenté de réellement aider Aedan. Elle fut renvoyée, remplacer par une main d’œuvre qu’on ne payait qu’une seule et unique fois : un androïde.

Il avait à présent 17 ans lorsqu’il connut son premier amour, il s’appelait James, il se souvient encore de ses larges épaules musclées. De son sourire taquin, de ses allures de jemenfoutiste. Dans l’école privée qu’il fréquentait, il était le cauchemar de beaucoup d’enseignant parce qu’il était aussi intelligent qu’il était insolent. Il se souvient de ces regards, de ses soirées à se chercher discrètement, à s’oublier et à oublier le parfum de sa mère dans l’alcool.

C’était à l’anniversaire de James qu’un nouvel instant important de sa vie se passa.
Dans cette grande propriété, sans adulte pour les surveiller, de nouveau jeune étaient réuni, l’alcool coulait à flots et pas que... Dans le monde de la jet-set à l’Américaine, les soirées étaient propices à de nombreux vices. Beaucoup d’entre eux s’ennuyaient dans leur vie parfaite, beaucoup avait besoin de se sentir réellement exister, d’accomplir des choses, aussi idiote soit-elle, qui ne soit pas du fait de leur grand nom ou de leur parent.

Il était en train de danser, de crier, de profiter de sa jeunesse. Il était loin, très loin, l’alcool, la drogue, et James…

"JE SUIS VIVANT !" Avait-il hurlé joyeusement et James, toujours dans la surenchère, l’avait amené sur le toit de la demeure. Il voulait lui montrer "un truc" avait-il dit... Et son truc... C’était de prendre son élan du toit pour sauter directement dans la piscine. Ca l’avait fait légèrement dessaouler, il n’était peut-être pas assez loin pour risquer sa vie aussi stupidement, mais en regardant James ne pas hésiter une seule seconde, prétextant que la vie, c’était une succession de risque, il s’était senti grisé. Il adorait ça chez James, ce côté complètement irréfléchi et incontrôlable. Il était spontané, il ne se cachait de rien, il savait que beaucoup le voyaient comme l’idiot de service, mais lui, il s’en foutait, il était parfaitement conscient de sa valeur... Ou du moins, c’était ce qu’il ressentait lorsqu’il le voyait ainsi sauté et atterrir dans la piscine.

Il était au bord du toit à le regarder émerger de l’eau sous les applaudissements de ses invités. À lui hurler de le suivre, à le traiter de poule mouillée, à lui dire qu’il était toujours le petit bébé à sa maman... Ce sont exactement ces mots-là qui le firent vriller. Il s’était senti en colère en une seconde, une rage tel qui le poussa à prendre son élan et sauter à son tour.

Cette chute fut à la fois la plus longue et la plus courte. Ce fut assez long pour que sa rage d’il y a une seconde à peine s’efface pour laisser place à la peur et assez court pour qu’elle revienne dès qu’il sortit la tête de l’eau, sain et sauf. Il avait poussé son meilleur ami.

"Ne dis plus jamais ça !"

Ce sourire taquin.

"Sinon quoi Dany ?"

Il s’était approché, la musique était forte, assourdissante et pourtant, il était incapable de l’entendre face à cette soudaine proximité.

"Tu iras pleurer chez ta mère ?"

Il fallait admettre que tout le monde connaissait la mère d’Aedan comme étant une femme surprotectrice avec son fils, une lionne pour beaucoup, personne ne connaissait le monstre contradictoire que lui connaissait, mais tout le monde savait qu’il ne fallait jamais faire référence à sa mère devant lui. Mais James...James, il s’en foutait.

"T’es vraiment un enculé quand tu t’y mets."
"Tu n’imagines pas à quel point j’aimerais l’être."

Avait-il répondu avant de l’embrasser, là comme ça, collant son bassin contre le sien. Il aurait dû se détacher, il aurait dû s’éloigner, s’écarter, mais c’était le premier véritable baiser qu’il recevait. Le premier qui ne lui donnait pas envie de vomir, le premier qu’il voulait poursuivre et qu’il découvrait réellement.
Au lieu de l’éloigner, il se colla un peu plus à lui, l’embrassa de plus belle. L’alcool aidait tout comme les cris de joie autour d’eux. Peut-être que certains de leurs ami(e)s désapprouvaient, mais tout le monde était trop euphorique pour l’heure.

Alors il l’embrassa encore, comme s’il s’agissait de sa première véritable bouffée d’oxygène après plus de deux ans d’apnée.

Lorsque leurs bouches se séparèrent enfin et qu’il rencontrer les sombres iris de son ami plongé dans les siennes, il eut peur…

Jusqu’à ce qu’il remarqua son sourire franc et sincère.

"Dany... T’es vraiment long à la détente" Lui dit-il, admettant à demi-mot que cela faisait un moment que tous les deux se cherchaient sans jamais vraiment oser.

Le reste de la soirée fut la plus belle de sa vie... Même encore aujourd’hui. Il s’agit de son plus beau souvenir. Même lorsqu’il s’était réveillé le lendemain matin, nu comme un verre, allongé sur le corps à moitié nu de James à ses côtés. La journée qui suivit avait été douce, sous le thème de la gueule de bois, mais teinté de tendresse et d’amour. Une parenthèse agréable à sa vie. Profitant de pouvoir à présent véritablement garder des souvenirs pour se découvrir encore l’un et l’autre. Profitant de l’absence des parents de James, de la confiance de ceux d’Aedan… Ils étaient deux adulescents qui pouvaient s’exprimer sans risque d’être jugé, se découvrir avec complicité. S’aimer avec la maladresse de leur âge et de leur méconnaissance.

Ce n’est qu’une semaine que la soirée anniversaire de James eut des conséquences désastreuses. Il était rentré chez lui après son cours de violon pour découvrir dans le salon son père avec le visage plus froid et fermé que jamais et sa mère qui pleurait à chaude larme.

Ce fut elle qui explosa la première lorsqu’elle vit son fils.

"COMMENT AS-TU OSER ME FAIRE CA !"

Il ne comprenait pas, se prenant une gifle qu’il n’eut pas le temps d’esquiver. Son père s’était levé pour prendre la main de sa femme qui se levait déjà pour mettre une deuxième gifle à son fils. Il la serra contre lui, imperturbable, froid, fixant son fils.

"Va t’en"
"Mais... Quoi ? Je ne comprends pas... Qu’est-ce que..."

Il était complètement perdu, sa mère pleurait à chaude larme.

"Je t’ai tout donné..." Répétait-elle, le visage caché contre son époux. Son père le fixait avec un dégoût et une froideur qu’il ne lui avait jamais vue. Il aurait dû se battre, chercher à comprendre, mais l’androïde l’invitait déjà à sortir et son père semblait être déterminé à ne lui donner aucune réponse alors que sa mère n’arrêtait pas de dire qu’il l’avait trahi. En quelques minutes, il se trouvait en dehors de leur propriété, face au portail. Il n’avait pas de sac, pas d’affaire, pas de réponse… Seulement son violon et son téléphone portable.

Il sortit son téléphone portable s’apprêtant à appeler James au secours lorsqu’il vit les nombreuses notifications de différents réseaux sociaux et application de messagerie.

Une vidéo de la soirée d’anniversaire tournait... Une vidéo intime...Ce n’était pas leur baiser échangé dans la piscine, mais une ou deux plus tard lorsqu’ils s’étaient éclipsé pour pouvoir... Approfondir leur découverte. Son monde s’arrêta… Il courra.

Il semblait fuir, courant à en perdre haleine. Son instinct le poussa à rejoindre la demeure de James, sonnant, frappant, criant après lui. La panique le gagnait, lui étreignant le cœur. Il était inquiet pour son (petit) ami. Un androïde lui ouvrit, il le repoussa pour entrer sans attendre et courir directement vers la chambre de James. Lorsqu’il déboula, il fut soulagé de le voir avant d’être complètement perdu en voyant son sourire, il semblait si heureux de voir Aedan.

Et cette sincérité le frappa de plein fouet, en une seconde, les larmes coulaient sur ses joues, il peinait à retrouver son souffle et ses jambes cessèrent de soutenir son poids. Rapidement rejoint par James.

"Hey... Qu’est-ce que... Dany ?"

Il le prit dans ses bras, le fit entrer dans sa chambre. La mère de James vint voir si tout allait bien et James la congédia d’un regard et d’un signe de la main, lui faisant comprendre qu’il s’en occupait. Aedan pleura longtemps sans pouvoir se contrôler. Prenant la pleine mesure de ce qui se passait dans sa vie. Des mots de sa mère à la décision de son père.
Ce n’est que le lendemain matin qu’il semblait à nouveau capable de parler.

"Tu vas bien ?" Lui demanda James.
"Mon père m’a mis dehors."
"Merde... Je suis désolé… Je ne savais pas qu’on nous...Avait surpris."
"Je sais..."

Silence…

"Et tes parents ?"
"Ca va... Ils sont plus inquiets par mes études que par mon orientation sexuelle... Tant que je deviens médecin, j’ai le droit de baiser qui je veux."

Il s’enfonça dans l’oreiller de James, un peu gêné et jaloux par les mots de James.

"Tu peux rester ici... Si... Tu veux"

Il releva la tête.

"Sérieux ?"
"Oui, je vais pas te laisser à la rue..."
"Mais... Et tes parents ?"
"C’est mon problème ça."

Il resta à nouveau silencieux, épuisé. James s’occupa en effet de ses parents, il ne sut jamais exactement ce qui s’était dit, mais sa vie redevint plus ou moins normal alors qu’il vivait avec eux. Ils étaient occupé, peu présent physiquement, mais ils étaient d’un grand soutien. Du moins... Durant les premiers mois.

Cela faisait presque un an qu’il était hébergé chez eux, poursuivant ses études, travaillant plus dur que jamais pour obtenir une bourse. C’était difficile, mais James était là…
Jusqu’à ce qu’il entende malgré lui une conversation houleuse entre James et ses parents.

"On n'est pas les Pritzker..."
"Raison de plus pour l’aider, vous ne croyez pas ?"
"On ne peut pas le faire éternellement et... Nos relations avec la famille Pritzker sont tendues depuis qu’ils savent que nous hébergeons leur fils."
"Et quoi ? On ne peut pas juste...Je sais pas, appelez les médias ? Faire savoir que c’est qu’une bande d’homophobes qu’ont abandonné leur fils juste parce qu’il est amoureux de moi ?"
"James... Ce n’est pas aussi simple."
"Bien sûr que si !"
"C’est trop risqué... Nous avons beaucoup à perdre."
"C’est si tu les laisses faire que nous allons perdre le plus important papa..."
"Arrête avec ton idéalisme James ! La vie ce n’est pas ça, cela ne fonctionne pas comme ça et je ne vais pas risquer tout le labeur de mon travail uniquement pour une amourette d’adolescent ! Il va devoir partir !"
"Je partirai avec lui alors !"
"Ne fais pas l’enfant !"
"Arrêtez d’être des cons alors !"

Il s’était éloigné avant d’être surpris à écouter à la porte. Ruminant seul ce qu’il avait surpris, il cacha ses réflexions derrière un sourire, des baiser, des rires, des parties de jeux vidéo et des moments de révisions interrompu par leurs hormones.
Il ne lui fallut qu’une semaine pour simplement disparaître de la vie de James. Ce fut la décision la plus difficile à prendre, mais il refusait de voir James gâcher sa vie et son avenir pour lui, tout comme il refusait d’être la cause des torts dans la vie de ses parents qui l’avaient si généreusement accueilli chez lui.

Il s’en alla... Sans un regard en arrière.

Il avait connu la vie sans avoir à se soucier de rien et maintenant, il découvrait la vie où il se demandait quand il allait pouvoir manger. Il avait au moins son violon avec lui. Il aurait pu le revendre, il valait une fortune, mais après réflexion, il s’était dit qu’en le gardant, il pouvait essayer de gagner de l’argent, un peu tous les jours. C’était mieux que rien... Mieux que d’avoir plein d’argent d’un coup qui fondrait comme neige au soleil.

Il s’éloigna de Chicago, il s’éloigna de l’Illinois, il apprit à vivre seul, à se débrouiller. Il y eut des jours plus difficile que d’autres. Parfois, il regrettait d’être parti, il se maudissait d’avoir fait cela. Surtout au début, lorsqu’il avait encore son téléphone portable et qu’il pouvait lire chaque message de son petit ami, de ses ami(e)s aussi qui lui suppliait de revenir, qui lui promettait de l’aider... Il pleura longuement lorsqu’il n’eut plus de batteries et plus de quoi pouvoir recharger cette dernière. Il aurait pu s’acheter un chargeur, trouver le moyen de le charger, mais il prit une tout autre décision et revendit l’appareil pour une somme qui l’aida à se nourrir un temps.

Avec le temps, il fut plus facile de faire semblant d’oublier cette ancienne vie. Il avait fini par s’adapter à cette nouvelle vie, refusant quelque part de se laisser aller. Ne se rendant pas compte que dans le fond, il avait hérité de la ténacité des Pritzker.
Il enchaînait les petits boulots, apprit à vivre avec peu de choses. Le temps faisant son temps, il arriva à Detroit lorsqu’il eut 20 ans. Deux ans plus tard, il fit une rencontre décisive en la personne de @"Jake Price". Lorsqu'il avait un peu d'argent, il lui arrivait de fréquenter les bars gay de la ville et c'est là qu'il le vit. Il lui demanda une cigarette, il lui demanda du feu, il le laissa l'allumer et termina cette soirée dans le lit de cet inconnu. Il avait quitté les lieux dès le lendemain matin, très tôt, il avait pu profiter d'une douche, d'un lit, d'une étreinte chaleureuse et n'était pas le genre à réclamer plus. Il aurait pu lui voler quelques trucs en partant mais ce n'était pas son genre.

C'est deux mois plus tard qu'il le revit...Et cette fois, il jouait, l'étuit de son violon à ses pieds et une petite pancarte pour remercier celleux qui lui donnerait un peu d'argent pour sa musique. Jake était là, il l'écoutait et il patienta de pouvoir être seul avec lui pour lui donner de l'argent, discuter également. Aedan à l'époque resta évasif : "Quelques années" il ne précisa pas qu'il était dehors depuis qu'il avait 18 ans. "Mes parents ? -rire sarcastique-" Il ne répondit pas vraiment et préféra rester évasif, "Aedan ça suffit pour m'appeler non ?" il n'était pas question qu'il donne son nom de famille, "Disons plutôt que j'ai join l'utile à l'agréable. Tu me plaisais, je suis venu te voir...La nuit, la chambre, la douche, c'était du bonus", il était franc quand il le voulait. "Te voler ? -éclat de rire sincère- Quelques orgasmes ça compte non ?" Toujours à plaisanté sans vraiment répondre sur pourquoi il ne lui avait pas vider les poches dès que l'occasion c'était présenté.

Ouais, pourquoi ne l'avait-il pas fait ? Simplement parce qu'il se refusait de tomber aussi bas.

Cette nouvelle marqua la promesse d'autres. Parfois ils se recroisaient, parfois ils repassaient une nuit ensemble mais jamais Aedan ne s'attardait. Il n'était pas difficile à comprendre qu'il accordait que difficilement sa confiance, rester, ça signifiait être dépendant et ça...C'était quelque chose qui se refusait de d'être. Sans se rencontre qu'il devenait malgré lui accroc à cet homme.

Un soir où il tentait de gagner sa vie en vendant son corps, trois hommes lui tombèrent dessus. Il s'était fait avoir comme un bleu parce qu'il avait faim, terriblement faim, qu'il avait besoin d'argent. Il avait été abordé par un mec qui lui demandait une gâterie en échange de quelques billets, il l'avait suivit dans une ruelle et s'était retrouver coincé. Entouré de trois mecs qui le rouèrent de coups et d'insulte. Il cru qu'il allait mourrir ce soir-là mais quelqu'un vint l'aider. Cette personne se prit des coups mais au moins il avait réussi à les faire fuir. Lorsqu'il se rendit compte qu'il s'agissait de Jake, il était à la fois reconnaissant et soulager de voir un visage familier en qui il avait un minimum confiance.

Il accepta d'aller chez lui, le soigna autant que Jake s'occupa de ses blessures. Etait-ce la peur ou tout autre chose qui le poussa à accepter l'offre de rester chez lui ? Seul Aedan le sait. Il resta. Apprenant un mois plus tard que ses agresseurs avaient été tués. C'était mal, mais Aedan s'était senti soulagé et plutôt heureux de l'apprendre.

Avec un toit au-dessus de sa tête, une douche et des vêtements propres, Aedan réussi enfin à trouver un emploi. Devenu serveur au Jimmy's Bar, ça payait pas grand chose mais ça restait une paye et avec le temps...Il avait fini par avoir un appartement, un toit au-dessus. Continuant de fréquenté Jake, il s'étonna même à se montrer sentimental en lui offrant un stylo gravé de ses initials lorsqu'il apprit son ascension à CyberLife. Il n'était pas rare qu'ils présentent de leur métier respectif, l'un travaillait dans la société qui construisait des androïdes, l'autre travaillait dans un bar qui refusait dans voir entre ses murs.

Il fut témoin du changement de vie et de comportement de Jake lorsqu'il se vit renvoyer de Cyberlife, il ne chercha jamais à connaître les raisons de se renvoie. Souhaitant avant tout être un soutien plus qu'autre chose. Il n'aimait pas juger, ne voulait pas juger. Les idéologies de Jake se faisait de plus en plus extrême et il n'était pas rare à présent qu'ils s'engueulent, qu'ils en viennent au main. Leur relation était loin d'être saine mais Aedan se sentait incapable d'y renoncer. Peut-être devenait-il accroc à l'adrénaline, peut-être que la colère de Jake avait quelque chose de terriblement attirant, ou peut-être souffrait-il du syndrome de l'infirmière et qu'il pensait qu'il pourrait aider Jake à redevenir l'homme qu'il connu ? Peu importait les peut-être et les raisons, il resta, il continua de le voir.

Même lorsqu'il comprit que Jake avait rejoins la coalition, même lorsqu'il cru que ce dernier allait le tuer en l'étranglant. Non, au lieu de ça, il l'avait embrasser, ils avaient violemment fait l'amour et continuait à se voir.

En y repensant, il était ironique de savoir qu'il lui avait demandé "tu ferais quoi si t'apprenais que j'étais dans l'autre camps hein ?!" car cela faisait déjà un moment qu'il aidait des androïdes à quitter le pays.

Tout avait commencé avec celui de son voisin. un homme désagréable, qui prenait un malin plaisir à cogner son androïde lorsqu’il s’emmerdait. En soi, ça le gênait pas spécialement, s’il aimait détruire son mobilier. Bien que cela le mettait mal à l’aise à cause de l’image proche de l’être humain que possédait les androïdes mais en réalité, la raison pour laquelle il frappait régulièrement à sa porte c’était parce qu’il faisait un bruit monstrueux chaque fois qu’il s’en prenait à son androïde. Il s’était souvent battu avec ce mec…

Mais il était loin de penser qu’un soir, ce serait l’androïde de cet homme qui frapperait à sa porte. Que l’androïde serait déboussoler, couvert de sang bleu, un œil manquant... Il l’avait laissé entrer, l’avait caché... C’est en discutant avec celui-ci qu’il comprit que son voisin ne respirait plus. Il aurait peut-être dû appeler les flics, mais Sofia lui dit une chose qui le bouscula littéralement : "Je ne voulais pas mourir..."

Alors quand la police vint frapper à sa porte pour savoir s’il avait vu un androïde, il répondit non. Il cacha Sofia encore un temps avant de l’aider... Elle fut la première qu’il emmena au Canada dans sa vieille voiture. Il se sentait étrange lorsqu’il la vit partir, la remercier alors qu’il n’avait fait que l’emmener ici. Il n’avait pas pu lui donner d’argent, ni de papier, ni rien, il connaissait rien de tout cela.
Elle était partie, et lui retournait à sa petite vie. Mais quelque chose avait changé. Maintenant, lorsqu’il voyait le monde dans lequel il vivait, c’était un cauchemar. Il était mal à l’aise de voir des androïdes toujours parqué au fond du bus comme l’avaient été les noirs à une autre époque. Il était horrifié d’entendre certaines conversations aux bars qui n’étaient pas sans lui rappeler la discrimination que subissaient les homosexuels, une discrimination qui leur arrivait encore de subir.

Il commença à faire ses recherches et sans même qu’il puisse véritablement s’en rendre compte, il se retrouva membre d’un réseau de passeurs pour androïde. Il ne s’était jamais senti utile qu’en cet instant, pouvoir les aider...Découvrir qu’ils étaient bien plus que de simple machine comme on tentait de le faire croire.
Il ne fut pas surpris de découvrir un jour le visage de Markus et les revendications des Androïdes à la télévision. Même si au fond cela rendait son "deuxième job" beaucoup plus compliqué.

Tellement compliqué, qu’il se fit arrêter, dans le bar où il travaillait. Là, devant témoin, il fut arrêté pour terrorisme. Oui, le fait d’avoir aidé des androïdes à quitter le territoire américain était qualifié de terrorisme à ce moment-là. Son arrestation se passa violemment, il fut frappé, menotté, il pissait le sang par le nez et l’arcade quand il perdit connaissance. Se réveillant en cellule et ce n’était pas qu’une simple cellule. On chercha à le faire parler, à vendre ses camarades, à donner l’adresse des endroits où il cachait des androïdes qui étaient en attente de quitter la ville.

Il garda le silence, aussi difficile que cela pouvait être, il ne pouvait pas se permettre de risquer la vie de plusieurs personnes parce que oui...A ses yeux c’étaient des personnes. Et il ne fallait pas être un génie pour comprendre que sa vie ne valait pas celle d’une dizaine personne. Il préférait clairement mourir pour ses convictions, mourir pour une idée, c’était tout ce qui lui restait.

On peut abandonner son intégrité pour presque rien, mais c'est tout ce que nous possédons réellement, tout ce qui nous reste à la fin. Et dans ce petit espace, il était libre.

Il fut enfermé, des jours, des semaines...Torturé, violé, il a espéré mourir pour que tout cela s’arrête ayant pour seul réconfort de n’avoir craché aucun nom. Il ignorait depuis combien de temps il était enfermé lorsqu’il passa d’un bourreau à un autre. Des humains, il devint prisonnier des androïdes lors d’une attaque visant probablement à libérer d'autres Androïdes, apprenant au passage que Markus avait mener sa révolution et qu’aujourd’hui c’était presque une guerre ouverte entre les deux clans.

Un gachi...Un tel gachi...C’était une tel gachi.

Il encaissait la colère des androïdes, ne cherchant pas à se défendre. Cela lui semblait être une cause perdue et il avait déjà perdu tout espoir. Ce qui le sauva ? Son dossier qui avait mit la puce à l’oreille, lui donnant le sursis nécessaire pour qu’un ancien androïde qu’il avait essayer de sauver face surface. Cette personne refusait qu’on lui fasse du mal, racontant ce pour lui ce qu’il avait fait.

"Pourquoi n’avoir rien dit ?" lui avait-on demandé.
"Je n’ai pas fait ça pour que ça me serve..." avait-il répondu, oubliant de dire qu’il avait simplement perdu l’espoir et qu’il avait souhaité mourir.
"Nous allions te tuer..."
"Je sais"
"Tu voulais mourir ?"
"J’étais prêt à mourir." admit-il
"Pourquoi ?"
"Parce que je ne suis pas certain de vouloir vivre dans ce monde"

Il aurait pu partir, il aurait pu quitter la ville, voir même le pays mais une part de lui se refusait à laisser derrière d’autres personnes qui avaient besoin d’aide. Mais il y avait autre chose qui le retenait à Detroit...Ou plutôt quelqu'un: @"Jake Price".
On lui apprit que l'homme était certainement mort, tout comme il apprit qu'aucun corps n'avait été retrouvé. Alors il chercha...Sans s'arrêter. Et en même temps, il reprit le Jimmy's Bar. Comme fut Jericho pour les androïde, le Jimmy’s Bar devint "The Haven", un lieu de paix.
Continuant d’aider, androïde comme humain. Aedan est très attaché à son lieu neutre, refusant catégoriquement qu’on s’y attaque et qu’on y foute le bordel. Lorsqu'il ne se retrouvait pas à The Haven, il cherchait Jake. D'ailleurs, une affiche à l'entrée de son bar, promettait une récompense à quiconque qui l'aiderait à retrouver son...Petit ami ? Son amant ? Lui-même ne le savait pas vraiment.

Aujourd’hui Aedan est quelque peu désabusé, il se fout bien des histoires entre les deux clans, il aide ceux qui le demande à la condition que ça n’ait aucune influence entre les deux clans. Il se refuse à prendre part à tout ça mais il est prêt à prendre les armes pour protéger son lieu de paix.

Gérant The Haven, il tente de faire asseoir sa neutralité dans le quartier qui entoure The Haven mais pour ça, il va avoir besoin d’aider.

Il possède à présent trois chiens et deux chats... Les deux chats se nommés Chip et Dale, deux mâles aux pelages noirs qui sont en réalité des chats errants qu'il a commencé à nourrir lorsqu'il a reprit le Jimmy's Bar. Les trois chiens se nomme Shadow, Chance et Sassie. Chance était déjà son chien avant tout ce bordel et il fut heureux de pouvoir le retrouver lorsqu'il fut libérer. Shadow et Sassie sont un duo qu'il a recueilli récemment. Ils sont devenu les mascottes du bar.

Les échanges entre humains et androïdes ont généralement lieu dans son bar, seul endroit neutre qui assure une certaine protection tant pour les androïdes que pour les humains. Les connexions d'Aedan avec la rue et le fait qu'il soit relativement bien accepté par les androïdes comme par les humains l'ont mené à se retrouver dans une position assez délicate. Markus ne serait pas contre de l'avoir dans son camps, d'en faire un "corrompu" tout comme la coalition voit en Aedan un excellent moyen d'infiltrer les androïdes ou du moins de se tenir au courant des futurs évènements.

Mais il n'est pas prêt à vendre son âme, ni à l'un, ni à l'autre. Restant droit dans ses principes, fidèle à lui-même, pour le meilleur comme pour le pire.

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MessageSujet: Re: We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé]   We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé] EmptyDim 19 Juil - 21:48

Validation

We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé] Hexago13

Bravo, te voilà arrivé dans Detroit ! Tu peux maintenant créer  ton domicile ou tout autre lieu, et mettre en place la chronologie de ton personnage, ainsi que sa fiche de lien.

Tu as l'honneur d'être notre premier vrai membre à être validée : félicitation  Cool  Cool  Cool  Cool

Ton destin t'appartient ! Libre à toi de choisir ton camps. Humai ou Androïde, peu importe qui tu es, le plus important c'est ce que tu vas mettre en place pour faire entendre ta voix!

Si tu as des questions, pose les à l'équipe du staff !
On sera ravie de te répondre  I love you
Pour finir et de notre part à tous félicitation et bon jeu parmi nous !

Halloween
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We walk through the fire ~ Aedan L. Pritzker [Terminé]

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